Absence de dessins

Désolé pour cette absence blogulesque de près d’un mois.

Je me suis rendu compte qu’en zappant sur les titres les plus anciens de mon site que non seulement les dessins basse définition étaient tronqués sur la droite mais qu’en plus le fait de cliquer dessus pour les agrandir n’aboutissait qu’à un message d’erreur.  La faute m’en incombe. L’hébergeur m’avait prévenu depuis belle lurette qu’il cessait les activités de stockage.

Les derniers dessins n’ont pas eu à subir cet inconvénient, stockés dorénavant sur un autre serveur.

Mais il reste tout de même à basculer plus de 200 dessins !

Ce qui n’est pas une mince affaire.

Je m’en occupe pour redonner à ce blog tout le sérieux qu’il mérite cet à dire avec grande incompétence, j’m’enfoutisme et dilettantisme aggravé.

Alors à très vite !

Ph. LEPERS

PS : Cette semaine, je n’aurais pas le temps de dessiner.

Mais on ne va pas laisser une page blanche, n'est ce pas ?

Si ma famille a payé un très lourd tribut aux guerres de 70, 14 et Algérie, il reste une constante chez nos zouaves, poilus et paras, Tous avaient le boyau de la rigolade. J'ai retrouvé dans le grenier les correspondances de mon grand père Eloi et de son frère ainé Floris, tous deux soldats au 127eme de cavalerie en garnison à Valencienne, correspondances adressées à leurs soeurs juste avant le début de la grande boucherie. En plus des lettres, ils faisaient souvent parvenir des cartes postales  humoristiques dont le coup de crayon n'est pas aussi désuet qu'il n'y parait et semblent annoncer par certains traits les prémices de la BD  moderne.

En voici quelques unes traitant de la vie en caserne des pioupious :