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Betdenrire

Poème pathologique d’un danseur compulsif légèrement contrarié par un phonographe déréglé.

11 Février 2020, 18:49pm

Publié par Philippe Lepers

Quand la pluie cessera, je danserai  encore

Quand la nuit se déchirera, je danserai encore

Quand l’aube naitra, je danserai  encore

Quand mon échine souffrira, je danserai encore

Quand la terre s’arrêtera, je danserai encore

Et, quand ce putain de vinyle cessera enfin de tourner

sur l’air des lampions, je danserai toujours.

Moralité : Qu’importe la musique, quand on met son âme dans les pieds,

c’est sans limites.  Il faut danser, danser, fut-ce seulement par la pensée.

 

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