Mourir de rire.
Comme dirait George Santayana, la naissance et la mort sont inéluctables. Profitez donc de la période entre les deux ! Un constat sur lequel Maurice Chapelan ironise en constatant que, jeune, on pense à la mort sans l’attendre et vieux on l’attend sans y penser. Paul Masson est lui plus explicite avec cette boutade : la mort est le meilleur des médecins. Une seule visite lui suffit ! Allez, pour finir, histoire de réchauffer l’atmosphère, imaginons qu’un candidat à la crémation, juste avant de mourir, avale un sac de grains de maïs… histoire de mettre l’ambiance au crématorium !